set w_user=%1
if not defined w_user (set w_user=test.test)
Un site utilisant WordPress
set w_user=%1
if not defined w_user (set w_user=test.test)
Remplacement de a par b dans la variable P1
set p1=%p1:a=b%
Remplacement de » par rien dans la variable P1
set p1=%p1:"=%
Remplacement de (espace) par _ dans la variable P1
set f_name=%1% set f_nom=%f_name: =_% echo fichier : %f_nom%
Suppression des espaces dans les noms de fichiers
@echo off rem ------ Suppression des espaces dans les noms de fichiers SETLOCAL ENABLEDELAYEDEXPANSION set d_rep=G:\Contacts\processing\ set w_fic=*.xlsx if EXIST %d_rep%%w_fic%. ( for /r "%d_rep%" %%i in ("%w_fic%") do ( set wf_name="%%~fi" set ww_name=%%~ni%%~xi set wf_nom=!ww_name: =_! echo ren !wf_name! !wf_nom! ren !wf_name! !wf_nom! ) )
echo "bonjour" | sed 'sZbZBZ' ou
echo "bonjour" | sed 's/b/B/'
Bonjour exemple : uptime | awk '{print $10}' 49.05, uptime | awk '{print $10}' | sed 's/,//' | sed 's/\./,/' 49,05
Could not connect to proxy.ft.grp:8080 (81.7.200.82). - connect (113 No route to host) Failed to fetch http://fr.archive.ubuntu.com/ubuntu/pool/main/b/bc/bc_1.06.94-3ubuntu1_amd64.deb vi /etc/apt/apt.conf Acquire::http::Proxy "http://gateway.zscaler.net:80";
J’ai ajouté dans le fichier www/WordPress3/index.php
<?php
/**
* Front to the WordPress application. This file doesn't do anything, but loads
* wp-blog-header.php which does and tells WordPress to load the theme.
*
* @package WordPress
*/
/**
* Tells WordPress to load the WordPress theme and output it.
*
* @var bool
*/
header("Status: 301 Moved Permanently", false, 301);
header("Location: http://www.sam-soul.fr/index.html");
exit();
define('WP_USE_THEMES', true);
/** Loads the WordPress Environment and Template */
require('./wp-blog-header.php');
et / ou dans le fichier header.php
<!DOCTYPE html>
<html <?php language_attributes(); ?>>
<head>
<meta charset="<?php bloginfo( 'charset' ); ?>" />
<meta name="viewport" content="width=device-width, initial-scale=1" />
<title><?php wp_title('|', true, 'left'); ?></title>
<link rel="profile" href="http://gmpg.org/xfn/11" />
<link rel="pingback" href="<?php bloginfo( 'pingback_url' ); ?>" />
header("Status: 301 Moved Permanently", false, 301);
header("Location: http://www.sam-soul.fr/index.html");
exit();
<?php wp_head(); ?>
</head>
Ajouter des boutons à votre site web aide vos lecteurs à partager votre contenu et à vous retrouver sur Twitter.
La création de blogs et autres sites web avec les modules d’OVH a l’avantage
de se faire en quelques clics de souris mais l’inconvénient d’entrainer
une certaine « lourdeur » voire carrément des blocages, notamment lorsque
l’on veut faire évoluer son site (mise à jour automatique de WordPress)
ou encore ajouter des plugins et autres add-ons.
Le but de la manipulation décrite ici est de passer facilement d’une base
MySQL créée par module OVH WordPress et relativement inaccessible
vers une base MySQL « normale », notamment accessible par PhpMyAdmin
et autres outils classiques.
En dehors du fichier « wp-config.php », il n’y a aucune modification à faire
dans les fichiers du site web (fichiers PHP, Javascript, images, feuilles
de style, etc.)
Ne pas se fier à la relative longueur de ce texte, si tout se passe bien,
vous en avez pour moins de 5 minutes
Lire l’ensemble du texte avant de se lancer.
Etape 1 : créer une nouvelle base de données dans le manager du site web
d’OVH (dans « Hébergement » / « Gestion de MySQL » / « Nouvelle base MySQL »)
Etape 2 : attendre l’email d’OVH confirmant la bonne création de cette base
et noter les identifiants de connexion à celle-ci (login, mot de passe, etc.)
Si le script signale un problème d’accès à la nouvelle base et que vous êtes
sûr et certain d’utiliser le bon nom d’hôte, de base, de login et de mot de passe,
vous pouvez patienter un peu (disons 1 heure ou 2) ou sinon vous pouvez essayer
de réinitialiser le mot de passe d’accès à la base.
Etape 3 : Faire un copier-coller du script PHP qui suit et l’enregistrer dans
votre PC domicile/bureau sous un nom tel que « wp_move_db.php ».
(vous pouvez l’appeler comme bon vous semble mais l’extension « .php »
est obligatoire)
Le faire via un éditeur de texte ultra-simple du genre le « bloc-notes » sous Windows.
Ne pas utiliser de traitement de texte type « Microsoft Word » ou équivalent
qui risquerait d’introduire des caractères parasites invisibles.
Si vous utilisez « text edit » sous MacOS, attention au format du fichier,
cf le message n°53 et suivant de ce topic.
Etape 4 : Modifier au début de ce fichier les informations de connexion
à la nouvelle base MySQL (le script doit trouver tout seul les informations
de connexion à l’ancienne base) que vous venez de créer à l’étape 1.
Etape 5 : Une fois le script mis à jour, le transférer par FTP (avec FileZilla
par exemple) et le placer dans le même répertoire que le fichier « wp-config.php »
de votre installation WordPress (par exemple dans le répertoire « WordPress3 »)
Etape 6 : lancer l’exécution du script en tapant son adresse dans votre navigateur web :
http://www.votre_site.fr/WordPress3/wp_move_db.php
ou encore
http://www.votre_site.fr/wp_move_db.php
selon l’endroit où se trouve votre installation WordPress.
Le script devrait s’exécuter en quelques secondes et vous afficher
« Fin normale du programme » si tout s’est bien déroulé.
Etape 7 : par défaut, le script se contente de créer un nouveau
fichier « wp-config-nouveau.php » contenant les informations de connexion
à votre nouvelle base WordPress et laisse intact votre ancien « wp-config.php ».
Vous avez le choix :
– soit de renommer manuellement (par FTP) ce fichier en « wp-config.php »
(en effaçant/renommant au préalable l’ancien)
– soit de laisser faire cette modification par le script PHP, dans ce cas placer
la variable « $rename » à 1 au début du script. Le fichier courant « wp-config.php »
sera sauvegardé sous le nom « wp-config-ancien.php ».
Une fois le fichier « wp-config.php » mis à jour, votre installation WordPress
utilisera votre nouvelle base de données et non plus l’ancienne.
La migration est alors terminée
Etape optionnelle : le script sauvegarde l’ancienne base dans un fichier
SQL compressé, « wp_20110930.gz » par exemple (format « wp_YYYYMMDD.gz »).
Une fois la migration terminée, vous pouvez effacer (par FTP) ce fichier
ou encore le recopier localement afin d’en avoir une sauvegarde.
Précisions : le script PHP de migration ne peut en aucune façon détruire/modifier
votre ancienne base de données (il ne fait que la lire).
Par précaution, avant de lancer l’exécution du script, faite une copie locale
(par FTP) de votre ancien fichier « wp-config.php » afin d’en garder une trace
juste au cas où.
<?PHP // -------------------------------------------------- /* AVANT d'exécuter ce script, vous devez, impérativement, avoir créé une nouvelle base de données pour WordPress via le manager du site web d'OVH. Une fois la base créée, vous aller recevoir un email d'OVH intitulé "[MySQL] La base MySQL ...". A l'intérieur se trouvent les informations de connexion que vous allez devoir reprendre dans ce script : Serveur : $new_db_host Utilisateur : $new_db_user Nom de la base : $new_db_name Mot de passe : $new_db_password Par exemple, si dans l'email vous avez : Serveur : mysql5-1.starter Utilisateur : mon_login Nom de la base : mabase Mot de passe : XYZ1234 cela donnera dans ce script : $new_db_host = "mysql5-1.starter"; $new_db_user = "mon_login"; $new_db_name = "mabase"; $new_db_password = "XYZ1234"; */ $new_db_host = ""; $new_db_user = ""; $new_db_name = ""; $new_db_password = ""; // ---------------------------------- $rename = 0; // Valeurs possibles : 0 ou 1. 1 signifiant que le programme va modifier les informations // de connexion dans le fichier "wp-config.php" afin que WordPress ne se connecte plus // à l'ancienne base mais à la nouvelle base. // 0 signifie que ce script va seulement créer le nouveau fichier "wp-config-nouveau.php", // il ne vous restera plus qu'à le renommer manuellement par FTP en "wp-config.php" afin // de permettre à WordPress d'utiliser la nouvelle base. $db_charset = ""; // Valeurs possibles : 'utf8' ou 'latin1', à ne changer que si les caractères accentués // de la nouvelle base sont incorrects $DEBUG = 0; // Valeurs possibles 0 ou 1, afin d'afficher davantage d'informations lors de l'exécution // ********************************************************************************************** function GetCharset ($db,$db_name) { $cmd = "SHOW TABLE STATUS FROM `$db_name` LIKE 'wp_users'"; $result=mysql_query ($cmd,$db); $myrow=mysql_fetch_array($result); $db_charset = "utf8"; // Par défaut, on utilise l'Unicode if ($myrow) { if ($myrow["Collation"] == "utf8_general_ci") { $db_charset = "utf8"; } else { $db_charset = "latin1"; } } return ($db_charset); } function my_exec ($cmd, $error_msg) { global $DEBUG; if ($DEBUG) { print "cmd = $cmd<br>\n"; } $statut = system($cmd); if ($statut === FALSE) { print "<br>".$error_msg; exit; } } // ********************************************************************************************** // -------------------------------------------------------------- // Récupération des données de connexion à l'ancienne base WordPress // dans le fichier 'wp-config.php' $tab = file("wp-config.php"); if ($tab === FALSE) { print "Impossible de lire le fichier 'wp-config.php'<br>\n"; print "Ce script PHP doit être dans le même répertoire que le fichier 'wp-config.php' de WordPress .<br>\n"; exit; } $db_name =""; $db_host = ""; $db_user = ""; $db_password = ""; for ($i=0; $i<50; $i++) { $ligne = $tab[$i]; if (strpos($ligne,'define(\'DB_NAME') !== FALSE) { preg_match('/(.*)\'(.*)\'(.*)\'(.*)\'(.*)/', $ligne, $data); $db_name = $data[4]; } if (strpos($ligne,'define(\'DB_USER') !== FALSE) { preg_match('/(.*)\'(.*)\'(.*)\'(.*)\'(.*)/', $ligne, $data); $db_user = $data[4]; } if (strpos($ligne,'define(\'DB_PASSWORD') !== FALSE) { preg_match('/(.*)\'(.*)\'(.*)\'(.*)\'(.*)/', $ligne, $data); $db_password = $data[4]; } if (strpos($ligne,'define(\'DB_HOST') !== FALSE) { preg_match('/(.*)\'(.*)\'(.*)\'(.*)\'(.*)/U', $ligne, $data); $db_host = $data[4]; } } if (($db_name == "") || ($db_user == "") || ($db_password == "") || ($db_host == "")) { print "Probleme lors de la recuperation des donnees de connexion depuis le fichier 'wp-config.php'"; exit; } if (strpos ($db_host, "modules") === FALSE) { print "Attention, votre fichier 'wp-config.php' semble ne pas utiliser le module OVH WordPress.<br><br>\n"; print "Si vous avez deja execute une premiere fois ce script, verifiez que votre fichier<br>\n"; print "'wp-config.php' contient bien les informations de connexion a votre ancienne base de donnees<br>\n"; print "et non celles de la nouvelle base.<br>\n"; exit; } // ---------------------------------------------------------------- // Connexion a la nouvelle base de données // Seulement dans le but de s'assurer que les paramètres de connexion sont les bons $db = mysql_connect($new_db_host, $new_db_user, $new_db_password); if ($db === FALSE) { print "Connexion impossible à la nouvelle base de donnees : ".mysql_error(); print "Verifiez bien vos informations : nom d'hote, login et surtout mot de passe<br>\n"; exit; } else { // On teste seulement la connexion a la nouvelle base de donnee $statut = mysql_select_db ($new_db_name, $db); if ($statut === FALSE) { print "Impossible de selectionner la nouvelle base de donnees : ".mysql_error(); print "Verifiez bien vos informations : nom de base<br>\n"; mysql_close ($db); exit; } else { mysql_close($db); } } // ---------------------------------------------------------------- // Connexion a l'ancienne base de données (créee par le module OVH) $db = mysql_connect($db_host, $db_user, $db_password); if ($db === FALSE) { print "Connexion impossible à l'ancienne base de donnees : ".mysql_error(); exit; } $statut = mysql_select_db ($db_name, $db); if ($statut === FALSE) { print "Impossible de selectionner l'ancienne base de donnees : ".mysql_error(); mysql_close ($db); exit; } $db_charset = GetCharset ($db,$db_name); if ($DEBUG) { print "db_name = $db_name<br>\n"; print "db_user = $db_user<br>\n"; print "db_password = $db_password<br>\n"; print "db_host = $db_host<br>\n"; print "db_charset = $db_charset<br>\n"; } // ------------------------------------------------------------------ // Sauvegarde de l'ancienne base de données (créee par le module OVH) $date_actuelle = date ("Ymd",time()); $backup_filename = "wp_".$date_actuelle.".gz"; $cmd = "mysqldump --host='$db_host' --user='$db_user' --password='$db_password' -e --default-character-set='$db_charset' '$db_name' | gzip -c > $backup_filename "; my_exec ($cmd, "Erreur lors de l'execution du mysqldump"); mysql_close ($db); print "La sauvegarde (mysqldump) de l'ancienne base s'est bien deroulee.<br>\n"; // -------------------------------------------------------------- // Injection des données de l'ancienne base dans la nouvelle base if (($new_db_name == "") || ($new_db_host == "") || ($new_db_password == "") || ($new_db_user == "")) { print "<br>Erreur : vous devez indiquer les informations de connexion à la nouvelle base de donnees,<br>\n"; print "Cf les explications en commentaires au début de ce script.<br>\n"; exit; } $cmd = "gzip -d < $backup_filename | mysql --host='$new_db_host' --user='$new_db_user' --password='$new_db_password' '$new_db_name'"; my_exec ($cmd, "Erreur lors de l'injection des donnees dans la nouvelle base"); print "L'injection des donnees de l'ancienne base dans la nouvelle s'est bien déroulee.<br>\n"; // -------------------------------------------------------------------------- // On va créer un nouveau fichier "wp-config.php" contenant les informations // de connexion à la nouvelle base de données. $fp = fopen ("wp-config-nouveau.php","w"); if (!$fp) { print "<br>Impossible d'ouvrir en ecriture le nouveau fichier 'wp-config-nouveau.php'<br>\n"; exit; } foreach ($tab as $ligne) { if (strpos($ligne,'define(\'DB_NAME') !== FALSE) { $ligne = "define('DB_NAME', '".$new_db_name."');\n"; } if (strpos($ligne,'define(\'DB_USER') !== FALSE) { $ligne = "define('DB_USER', '".$new_db_user."');\n"; } if (strpos($ligne,'define(\'DB_PASSWORD') !== FALSE) { $ligne = "define('DB_PASSWORD', '".$new_db_password."');\n"; } if (strpos($ligne,'define(\'DB_HOST') !== FALSE) { $ligne = "define('DB_HOST', '".$new_db_host."');\n"; } fwrite ($fp, $ligne); } fclose ($fp); print "Le fichier 'wp-config-nouveau.php' a bien ete cree.<br>\n"; if ($rename) { my_exec ("mv wp-config.php wp-config-ancien.php", "Erreur lors du renommage de l'ancien fichier 'wp-config.php'"); my_exec ("cp wp-config-nouveau.php wp-config.php", "Erreur lors du renommage du nouveau fichier 'wp-config.php'"); print "Le fichier 'wp-config-nouveau.php' a bien ete renomme en 'wp-config.php'<br>\n"; print "Vous pouvez desormais utiliser WordPress avec votre nouvelle base de donnees.<br>\n"; } else { print "Il ne vous reste plus qu'a renommer par FTP le fichier 'wp-config-nouveau.php'<br>\n"; print "en 'wp-config.php' afin de permettre à WordPress d'utiliser la nouvelle base de données<br>\n"; } print "<br><br>Fin normale du programme.<br>\n"; ?> Edit 06/XII/2011 : Adaptation pour WordPress 2.5 Edit 24/V/2012 : Ajout d'informations pour Text Edit sous MacOS Edit 30/V/2012 : Renforcement des contrôles sur les paramètres d'accès à la nouvelle base Edit 18/XI/2012 : Ajout d'informations en cas de souci d'accès à la nouvelle base http://forum.ovh.com/showthread.php?t=73712
Dans le fichier style.css
Mettre ne commentaire la ligne 120
#.headline {background: url(images/headline-border.png) repeat-x left bottom; padding: 25px; font-size: 16px; min-height: 20px; font-family: « TitilliumText22LRegular »; }
remonmer le pavé
<?php $header_image = get_header_image(); if ( ! empty( $header_image ) ) : if ( function_exists( 'get_custom_header' ) ) { $header_image_width = get_custom_header()->width; $header_image_height = get_custom_header()->height; } else { $header_image_width = HEADER_IMAGE_WIDTH; $header_image_height = HEADER_IMAGE_HEIGHT; } ?>
Mettre en commentaire
<!-- <hgroup id="top-header"> <div id="site-title"><a href="<?php echo home_url( '/' ); ?>" title="<?php echo esc_attr( get_bloginfo( 'name', 'display' ) ); ?>" rel="home"><?php bloginfo( 'name' ); ?></a></div> <div id="site-description"><?php bloginfo( 'description' ); ?></div> </hgroup> --> ligne 45 <?php get_search_form(); ?> content.php ligne 7 à 11
<div class="entry-meta meta"> <?php onlinemarketer_posted_on(); ?> </div><!-- .entry-meta --> <?php endif; ?> </header><!-- .entry-header -->
Mettre en commentaire tout le pavé.
div id="site-generator"
Mettre en commentaire (au début)
div class="entry-meta meta"
Mettre en commentaire tout le pavé footer (en bas de la page) juste avant
edit_post_link
Exemple : de Tic vers Tac
Sur TIC:
cd root/.ssh/
ssh-keygen -t dsa
Generating public/private dsa key pair.
Enter file in which to save the key (/root/.ssh/id_dsa): /root/.ssh/id_dsa_tic
Enter passphrase (empty for no passphrase):
Enter same passphrase again:
Your identification has been saved in /root/.ssh/id_dsa_tic.
Your public key has been saved in /root/.ssh/id_dsa_tic.pub.
The key fingerprint is:6e:82:aa:d9:c3:af:57:34:26:f8:1e:b5:24:c9:88:b9 root@ticThe key’s randomart image is:
+–[ DSA 1024]—-+
| |
| |
| o + . |
|o o = * |
| . . B oS |
|E o.o. |
| . ..o. o |
| oo.o o |
|o.+=. |
+—————–+
root@tic:~/.ssh# ls
id_dsa_tic id_dsa_tic.pub
root@tic:~/.ssh# chmod 600 id_dsa_tic.pub
root@tic:~/.ssh# ls -la
total 20
drwx—— 2 root root 4096 2013-08-02 14:04 .
drwx—— 34 root root 4096 2013-05-07 16:57 ..
-rw——- 1 root root 668 2013-08-02 14:04 id_dsa_tic
-rw——- 1 root root 598 2013-08-02 14:04 id_dsa_tic.pub
______________________________________________________________
Copie de la clé publique sur le serveur distant (TAC).
root@tic:~/.ssh# scp id_dsa_tic.pub root@tac:/root/.ssh/
root@tac’s password:
id_dsa_tic.pub 100% 598 0.6KB/s 00:00
Sur TAC :
Le fichier est bien présent sur TAC.
root@tac:~# ll /root/.ssh/
total 16
drwx—— 2 root root 4096 2013-08-02 14:17 .
drwx—— 32 root root 4096 2013-08-02 10:32 ..
-rw——- 1 root root 598 2013-08-02 14:17 id_dsa_tic.pub
Ajout de la clé dans le fichier des clés autorisées.
root@tac:~# cd /root/.ssh/
root@tac:~/.ssh# cat id_dsa_tic.pub >> authorized_keys
À tout moment, votre système Linux se trouve à un niveau d’exécution donné. La distribution Red Hat en définit 7 :
- 0 : Hors service : l’alimentation peut alors être coupée dans danger
- 1 : Mode mono-utilisateur (pour administration système)
- 2 : Mode multi-utilisateurs : fonctionnement normal sans NFS (identique au niveau 3 mais sans les fonctionnalités réseau).
- 3 : Mode multi-utilisateurs : fonctionnement normal pour systèmes en réseau, partageant leurs ressources avec d’autres systèmes.
- 4 : Inutilisé
- 5 : X11
- 6 : Mise hors service et redémarrage : sert durant le redémarrage du système à partir d’un niveau de fonctionnement (2, 3, 4, 5). Le système passera ensuite au niveau 0.
Comme on peut le voir, un niveau d’exécution est donc un état d’init
et du système qui définissent quels sont les services qui s’exécutent.
Lors de la phase de démarrage, init
doit savoir à quel niveau placer le système. Pour cela, il recherche dans le fichier /etc/inittab
la ligne qui configure ce niveau par défaut :
id:3:initdefault:
signifie que le système démarrera en Mode multi-utilisateurs complet. (ce serait une grosse bêtise de choisir les niveaux 0 ou 6 comme niveaux par défaut !!!).
Vous remarquerez que la sortie de la commande ps
ci-dessus indiquait qu’init
avait démarré le système en niveau 3. Toutefois, cette fonctionnalité n’est pas disponible par défaut dans toutes les distributions : la même ligne pour une Debian aurait donné :
USER PID %CPU %MEM SIZE RSS TTY STAT START TIME COMMAND root 1 0.1 0.4 740 384 ? S 17:12 0:04 init
Mis nous verrons ci-dessous qu’il existe une commande permettant de connaître à la fois le niveau d’exécution courant et celui qui l’a précédé.
telinit
On peut changer de niveau d’exécution grâce à la commande telinit
(qui n’est qu’un lien sur init
) :
# telinit 2
placera le système en Mode multi-utilisateurs sans réseau. Bien entendu, seul l’administrateur système (root
) peut exécuter cette commande…
Si l’on consulte la page man de telinit
(c’est la même que celle d’init
, on note que la première possède des options supplémentaires. Une lecture attentive nous apprend ainsi que telinit
permet de demander à init
de passer dans un niveau n (avec n compris entre 0 et 6) : c’est ce que nous écrivions plus haut.
Mais telinit
dispose de fonctionnalités supplémentaires : il permet de demander à init
effectuer une relecture de /etc/inittab
, ce qui est pratique après une modification de ce fichier grâce à la commande
# telinit q
alors, qu’on ne me parle plus de la nécessité de redémarrer sa machine après une modification des scripts de démarrage !
Il dispose aussi de plusieurs autres optionsé : toutes ont pour but d’indiquer à init
de réaliser une certaine tâche. Nous ne les traiterons pas ici et laissons le soin au lecteur curieux de lire la page de manuel.
En réalité, il existe plus que 7 niveaux d’exécution : la commande man init
nous apprend en effet qu’il existe aussi les niveaux 7, 8 et 9 (non documentés) et S
(ou s
) qui correspond au mode mono-utilisateur.
La plupart des Unix utilisent une version de la commande who
qui permet d’indiquer le niveau d’exécution courant :
# who -r . run level 3 Oct 17 18:00 3 0 S
Cette sortie indique que le 17 Octobre, le système est passé du niveau de fonctionnement S
au niveau 3. Le 0 indique que ce passage s’est effectué du premier coup.
Malheureusement, l’option -r
n’est pas disponible sous linux… Aussi, il faut utiliser une autre commande pour avoir cette information :
# runlevel runlevel N 2
Indique que le système est au niveau 2 et qu’il n’y a pas de niveau précédent.
# telinit 3 # runlevel 2 3
Ici, on est passé au niveau 3, le niveau précédent était le niveau 2.
Comme nous l’avons vu plus haut, la ligne de la commande ps aux
concernant init
renseigne aussi sur le niveau courant, mais pas dans toutes les distributions.
/etc/inittab
Lorsqu’il démarre, init
lit le fichier /etc/inittab
ligne par ligne (si on modifie ce dernier, ce n’est pas la peine de rebooter comme sous MS-DOS après toute modification de CONFIG.SYS
et/ou AUTOEXEC.BAT
, il suffit d’envoyer un signal HUP
à init
pour le forcer à le relire avec la commande
# kill -HUP 1
ou
kill -s HUP 1
Le fichier /etc/inittab
est un fichier texte composé de lignes de commentaires (commençant par #
) et d’entrées constituées de 4 champs délimités par des deux-points, elles sont de la forme :
code:niveaux:action:processus
code
� est un identificateur unique pour chaque entrée, c’est soit un nombre, soit un mot-clé composé de caractères et/ou de chiffres : nous avons déjà vu � id
� pour l’entrée correspondant au niveau d’exécution par défaut, il en existe d’autres.niveaux
� est une liste de niveaux d’exécution auxquels s’appliquera l’entrée, si cette liste est vide, cela équivaut à indiquer tous les niveaux.action
� précise comment doit être traiter le processus indiqué par le champ � processus
� à l’entrée dans un des niveaux de la liste � niveaux
�. Les actions possibles sont :
l0:0:wait:/etc/rc.d/rc 0 l1:1:wait:/etc/rc.d/rc 1 l2:2:wait:/etc/rc.d/rc 2 l3:3:wait:/etc/rc.d/rc 3 l4:4:wait:/etc/rc.d/rc 4 l5:5:wait:/etc/rc.d/rc 5 l6:6:wait:/etc/rc.d/rc 6
indique qu’à l’entrée dans le niveau n
, il faut lancer le script /etc/rc.d/rc n
.
1:12345:respawn:/sbin/mingetty tty1 2:2345:respawn:/sbin/mingetty tty2 3:2345:respawn:/sbin/mingetty tty3 4:2345:respawn:/sbin/mingetty tty4 5:2345:respawn:/sbin/mingetty tty5
indique qu’à tous les niveaux multi-utilisateurs (2 à 5), la commande mingetty
être relancée sur les terminaux tty1
à tty5
lorsqu’elle se terminera (afin de pouvoir se logger, se délogger et se relogger). Pour le niveau 1 (mono-utilisateur), seul le terminal tty1
sera utilisable.
ud::once:/sbin/update
indique que, quel que soit le niveau où l’on entre, l’utilitaire update
sera actif. Il est chargé d’écrire périodiquement sur disque le contenu du cache : ne le désactivez surtout pas !
niveaux
� est ignoré).niveaux
� est ignoré).boot
� ou � bootwait
� (le champ � niveaux
� est ignoré). Exemple :
si::sysinit:/etc/rc.d/rc.sysinit
power
….. � servent à gérer les dispositifs d’alimentation sauvegardée (UPS). Exemple :
pf::powerfail:/sbin/shutdown -f -h +2 "Power Failure; System Shutting Down" pr:12345:powerokwait:/sbin/shutdown -c "Power Restored; Shutdown Cancelled"
Bien entendu, elle n’ont de sens que si l’on dispose d’équipements de ce genre.
SIGINT
(généré par la combinaison de touches CTRL-ALT-SUPPR
). Elle sert généralement à arrêter et/ou redémarrer le système. Exemple :
ca::ctrlaltdel:/sbin/shutdown -t3 -h now
Un examen de votre /etc/inittab
vous montrera que celui-ci est divisé en un certain nombre de sections délimitées par des commentaires.
Notez, qu’à part modifier le niveau d’exécution par défaut et la commande associée à CTRL-ALT-SUPPR
, il y a peu de raisons pour lesquelles vous serez amené à modifier ce fichier.
/etc/rc.d
L’étude de /etc/inittab
nous a montré qu’init
lançait des programmes se trouvant dans le répertoire /etc/rc.d
. Ce sont les fameux scripts d’initialisation dont nous parlions dans l’introduction. Par exemple, la ligne :
l2:2:wait:/etc/rc.d/rc 2
signifie qu’init
doit lancer le script /etc/rc.d/rc
en lui passant 2
en paramètre à chaque fois qu’on entre dans le niveau 2 et qu’il doit attendre la terminaison de ce script avant de poursuivre.
La ligne :
si::sysinit:/etc/rc.d/rc.sysinit
signifie qu’init
doit lancer le script /etc/rc.d/rc.sysinit
lors de l’initialisation du système, quel que soit le niveau d’exécution.
Un examen de ce répertoire nous donne quelque chose comme :
# ls -l /etc/rc.d drwxr-xr-x 2 root root 1024 jui 31 19:30 init.d -rwxr-xr-x 1 root root 1593 jun 2 19:59 rc -rwxr-xr-x 1 root root 690 jun 2 19:59 rc.local -rwxrwx--- 1 news news 2083 jun 13 15:28 rc.news -rwxr-xr-x 1 root root 6697 jun 2 19:59 rc.sysinit drwxr-xr-x 2 root root 1024 jui 31 19:30 rc0.d drwxr-xr-x 2 root root 1024 jui 31 19:30 rc1.d drwxr-xr-x 2 root root 1024 jui 31 19:30 rc2.d drwxr-xr-x 2 root root 1024 jui 31 19:30 rc3.d drwxr-xr-x 2 root root 1024 jui 31 19:30 rc4.d drwxr-xr-x 2 root root 1024 jui 31 19:30 rc5.d drwxr-xr-x 2 root root 1024 jui 31 19:30 rc6.d
ce qui nous enseigne que ce répertoire ne contient que 4 fichiers exécutables : rc, rc.local, rc.news
et rc.sysinit
(le rc.news
n’existera peut être pas sur votre système si vous ne l’avez pas configuré comme serveur Usenet).
rc.local
, comme son nom l’indique est � local � à votre machine : c’est là que vous ajouterez les commandes d’initialisation propres à votre système. rc.local
est appelé en dernier, c’est-à dire après tous les autres scripts. Par défaut, sur mon système, il se contente de laisser un message indiquant la version Red Hat et celle du noyau dans le fichier /etc/issue
, à partir des informations qu’il tire du système. Ce fichier, s’il existe, est affiché automatiquement avant l’invite de login.
rc.news
, s’il existe, lance les démons nécessaires au serveur de news.
rc.sysinit
, on l’a vu, est le script qui est lancé lors de l’initialisation du système, il sert à configurer la variable d’environnement PATH
au niveau du système, à activer le swap, à configurer le nom de la machine avec la commande hostname
, à lancer les commandes de vérification des systèmes de fichiers, à les monter, à activer les modules si ceux-ci sont utilisés, etc. Parcourez-le, cela vous donnera envie de connaître la syntaxe du shell…
rc
, on l’a vu aussi, est appelé par init
avec un paramètre correspondant au niveau d’exécution dans lequel on entre. Ce paramètre est récupéré par le script rc
pour former un nom de répertoire. Par exemple, l’appel /etc/rc.d/rc 2
fera que rc
ira examiner le répertoire /etc/rc.d/rc2.d
. Un examen du code de rc
montre qu’il exécute alors d’abord les scripts de ce répertoire dont le nom commence par K
, puis ceux dont le nom commence par S
. Le rôle de rc
est donc surtout un rôle d’aiguillage et d’exécution d’autres scripts.
/etc/rc.d/rcn.d
Examinons, par exemple, le contenu du répertoire /etc/rc.d/rc2.d
, examiné par le script /etc/rc.d/rc
lorsqu’il est appelé par init
lorsque le système entre dans le niveau d’exécution 2 :
$ ls -l /etc/rc.d/rc2.d total 0 lrwxrwxrwx 1 root root 18 jun 12 12:02 K10pnserver -> ../init.d/pnserver lrwxrwxrwx 1 root root 15 jun 12 12:02 K15sound -> ../init.d/sound lrwxrwxrwx 1 root root 17 jun 12 12:02 K20rusersd -> ../init.d/rusersd lrwxrwxrwx 1 root root 15 jun 12 12:02 K20rwhod -> ../init.d/rwhod lrwxrwxrwx 1 root root 14 jun 12 12:00 K25innd -> ../init.d/innd lrwxrwxrwx 1 root root 14 jun 12 12:01 K50inet -> ../init.d/inet lrwxrwxrwx 1 root root 16 jun 12 12:02 K55routed -> ../init.d/routed lrwxrwxrwx 1 root root 13 jun 12 11:58 K60atd -> ../init.d/atd lrwxrwxrwx 1 root root 15 jun 12 12:00 K95nfsfs -> ../init.d/nfsfs lrwxrwxrwx 1 root root 17 jun 12 12:01 S01kerneld -> ../init.d/kerneld lrwxrwxrwx 1 root root 17 jun 12 12:00 S10network -> ../init.d/network lrwxrwxrwx 1 root root 16 jun 12 12:00 S20random -> ../init.d/random lrwxrwxrwx 1 root root 16 jun 12 12:02 S30syslog -> ../init.d/syslog lrwxrwxrwx 1 root root 15 jun 12 12:04 S40crond -> ../init.d/crond lrwxrwxrwx 1 root root 13 jun 12 12:01 S60lpd -> ../init.d/lpd lrwxrwxrwx 1 root root 18 jun 12 12:00 S75keytable -> ../init.d/keytable lrwxrwxrwx 1 root root 18 jun 12 12:02 S80sendmail -> ../init.d/sendmail lrwxrwxrwx 1 root root 13 jun 12 11:59 S85gpm -> ../init.d/gpm lrwxrwxrwx 1 root root 11 jun 12 12:00 S99local -> ../rc.local
Comme on le voit, il ne contient que des liens vers des fichiers du répertoire /etc/rc.d/init.d/
(sauf S99local
, qui pointe vers /etc/rc.d/rc.local
).
Ces liens sont de deux types, ceux dont le nom commence par K
(comme Kill : arrêter), ceux dont le nom commence par S
(Start : démarrer). Comme nous l’avons vu, /etc/rc.d/rc
exécute en premier ceux dont le nom commence par K
(en fait, il les exécute dans l’ordre dans lequel ils apparaissent avec la commande ls
…). L’ordre est réglé entre les liens par le biais d’une numérotation : ainsi, pour assurer que /etc/rc.d/rc.local
soit lancé en dernier, on met 99 derrière le S
(ce qui suit ces 3 caractères a peu d’importance, ce lien aurait pu se nommer S99toto
: tout ce qui compte, c’est l’ordre d’apparition).
Quand le système entre dans le niveau d’exécution 2, init
, par le biais de la commande /etc/rc.d/rc 2
, exécute la commande /etc/rc.d/rc2.d/K10pnserver stop
. Cela est réalisé par les lignes suivantes :
# Lancer d'abord les scripts KILL for i in /etc/rc.d/rc$runlevel.d/K*; do # Verifie si le script existe [ ! -f $i ] && continue # Verifie si le sous-systeme est deja lance subsys=${i#/etc/rc.d/rc$runlevel.d/K??} [ ! -f /var/lock/subsys/$subsys ] && \ [ ! -f /var/lock/subsys/${subsys}.init ] && continue # Arrete le sous-systeme $i stop done
Avec notre exemple, la variable i
prendra successivement tous les noms des fichiers /etc/rc.d/rc2.d/K*
, après avoir testé que le sous-système a bien été lancé, la commande $i stop
lancera le script en lui passant l’argument stop
. On pourra vérifier que le traitement des liens dont le nom commence par S
suit la même démarche sauf qu’il vérifie que le service n’est pas déjà lancé et que c’est l’argument start
qui est passé au script.
Le but du répertoire /etc/rc.d/rc2.d/
est donc simplement d’indiquer quels sont les scripts à stopper et à lancer lorsqu’on entre dans le niveau 2. Pour stopper un service supplémentaire, il suffit de créer un lien dont le nom commence par K
dans ce répertoire. Après le K
, on choisi un numéro pour qu’il soit placé en bonne place, et généralement le nom du service concerné. Ce lien doit alors pointer vers le véritable script se trouvant dans /etc/rc.d/init.d
.
Par exemple, ln -s /etc/rc.d/init.d/toto /etc/rc.d/rc2.d/K12toto
fera qu’à la prochaine entrée en niveau 2, init
arrêtera le service toto
après avoir arrêté le service pnserver
et avant d’arrêter le service sound
. La même démarche s’applique pour le lancement de services supplémentaires.
On notera que Linux dispose d’interfaces graphiques permettant de � faciliter � ces ajouts/suppressions : l’outil tksysv
de Red Hat, les outils graphiques de KDE et Gnome, Linuxconf.
Les répertoires /etc/rc.d/rc0.d
et /etc/rc.d/rc6.d
sont particuliers puisqu’ils correspondent respectivement à l’entrée dans le niveau de mise hors service et dans le niveau de redémarrage. L’examen du premier vous montrera qu’il ne comporte que de liens K
et un seul lien S
: S00halt
. C’est logique, car la mise hors service doit commencer par arrêter tous les services en cours, puis lancer la routine d’arrêt du système. De même, rc6.d
contient des liens K
et un lien vers le script de redémarrage (S00reboot
).
En fait, cette méthode peut sembler lourde alors qu’elle est finalement d’une simplicité à toute épreuve : à part rc.local
, tous les scripts sont regroupés dans le répertoire /etc/rc.d/init.d
et on décide dans le répertoire associé au niveau n
(/etc/rc.d/rcn.d
) des scripts qu’il faut lancer et de ceux qu’il faut arrêter…
/etc/rc.d/init.d
Examinons le contenu de ce répertoire :
$ ls -l /etc/rc.d/init.d total 38 -rwxr-xr-x 1 root root 884 mai 5 18:19 atd -rwxr-xr-x 1 root root 883 mai 6 01:29 crond -rwxr-xr-x 1 root root 3375 jun 2 19:59 functions -rwxr-xr-x 1 root root 1073 mai 8 05:59 gpm -rwxr-xr-x 1 root root 1351 jun 2 19:59 halt -rwxr-xr-x 1 root root 1509 mai 6 01:25 inet -rwxr-x--- 1 root root 1510 jun 10 12:33 innd -rwxr-xr-x 1 root root 780 mai 2 00:21 kerneld -rwxr-xr-x 1 root root 903 mai 7 16:39 keytable -rwxr-xr-x 1 root root 447 jun 2 19:59 killall -rwxr-xr-x 1 root root 1015 mai 6 01:24 lpd -rwxr-xr-x 1 root root 4398 jun 2 19:59 network -rwxr-xr-x 1 root root 1299 jun 2 19:59 nfsfs -rwxr-xr-x 1 root root 1036 avr 6 00:15 pnserver -rwxr-xr-x 1 root root 1535 jun 2 19:59 random -rwxr-xr-x 1 root root 1138 mai 11 01:58 routed -rwxr-xr-x 1 root root 773 mai 6 05:18 rusersd -rwxr-xr-x 1 root root 780 mai 6 01:27 rwhod -rwxr-xr-x 1 root root 921 dec 31 1997 sendmail -rwxr-xr-x 1 root root 906 jun 2 19:59 single -rwxr-xr-x 1 root root 1372 mai 6 01:26 sound -rwxr-xr-x 1 root root 799 avr 30 07:53 syslog
Les voici, nos fameux scripts ! Le contenu de ce répertoire varie en fonction des paquetages installés.
Examinons, par exemple, le script inet
:
$ less inet #! /bin/sh # # inet Start TCP/IP networking services. This script # sets the hostname, creates the routes and # starts the Internet Network Daemon & RPC portmapper.
Le début de chaque script commence par indiquer les services qu’il assure : ici, celui des services TCP/IP, la configuration du nom de la machine, etc.
# See how we were called. case "$1" in start) echo -n "Starting INET services: " daemon inetd echo touch /var/lock/subsys/inet ;; stop) # bringing down NFS filesystems isn't inet's problem I don't know # why this script used to do that -- ewt echo -n "Stopping INET services: " killproc inetd
puis, le script regarde avec quel paramètre il a été appelé : start
, auquel cas il lance le programme assurant le service pour lequel il a été conçu (ici, avec la commande daemon inetd
), ou stop
auquel cas, il stoppe ce service (avec la commande killproc inetd
).
Certains scripts acceptent d’autres paramètres : restart
par exemple, combine un appel avec stop
et un appel avec start
.
init
System VVoilà, vous connaissez l’essentiel du mécanisme de démarrage/arrêt des services avec l’init
de System V. Si vous vous rendez compte qu’un service ne fonctionne pas : cron
, par exemple, assurez-vous qu’un lien S
vers le script cron
existe bien dans le répertoire correspondant au niveau d’exécution dans lequel vous travaillez. Si ce n’est pas le cas, créez-le. Pour son arrêt, ajoutez un lien K
dans rc6.d
et rc0.d
afin que le service cron
ne soit stoppé qu’au moment de l’arrêt/redémarrage du système. Bien entendu, le script cron
doit exister dans /etc/rc.d/init.d
… si ce n’est pas le cas, c’est probablement que vous n’avez pas installé le paquetage correspondant à ce service (vixie-cron-3.0.1-*
, dans le cas de cron et d’un Red Hat).
Après tout ajout, pensez à relancer init
, ou faites-le à la main avec une commande comme ./etc/rc.d/init.d/crond start
. Vérifiez avec une commande comme ps aux | egrep [c]rond
que le service est bien lancé.
Passons maintenant à l’init
de la distribution Slackware.
Une simple une expression entre guillemets et WordPress vous transforme automatiquement vos » en guillemets français « (ouvrant) et » (fermant).
Il suffit donc de la désactiver en supprimant le filtre appliqué sur le contenu avec wptexturise
Ajoutez la ligne suivante dans le fichier functions.php de votre thème WordPress, et le tour est joué!
remove_filter('the_content', 'wptexturize');
du -h –max-depth=0 /exploit
alias ll='ls -ltra' Trier les fichiers par taille croissante ll -S
alias psef=’ps -ef | grep -v grep | grep ‘
locate sms | awk ‘{print $1}’ | xargs ls -la
find /exploit/dumps/ -type f -mtime -1 |while read a; do echo toto $a; done
ps -ef | grep -v grep | grep « apache\|palo »
sleep 60 ( en secondes )
ps -ef | grep /usr/local/apache2/bin/httpd | grep -v grep | awk ‘{print $2}’ | xargs kill -9
ln -s fichier lien
grep -nC5 VMONI /exploit/logs/zabbix_server.log
(recherche VMONI dans le fichier/exploit/logs/zabbix_server.log et affiche les 5 lignes précédentes et suivantes)
head -n 5 fichier(Affiche les 5 premiières ligne du fichier)
tail -n 10 fichier (Affiche les 10 dernières ligne du fichier)
head -n 5 fichier | tail -n 1 (Affiche la 5eme ligne du fichier)
cd ~user => répertoire de connexion (home directory)
cat toto.txt => affiche le contenu du fichier toto.txt
tac toto.txt => affiche le contenu du fichier toto.txt (en reverse) en partant de la fin
$0, étant le nom du script appelé (avec chemin complet)
$1 1er argument passé au script
$2 2eme argument passé au script
…
$# correspond au nombre d’arguments
$@ contient la liste des arguments.
Raccourcis clavier
Reprenez le controle a l’aide de linux
Le site du zéro : Ricou_37 , 5…..
Pour lister les fichiers *Vtba*.e non vides dans /exploit/logs/
find /exploit/logs/ -type f -size +1 -exec ls -lh {} \; | awk '{ print $8 ": " $5 }' |grep ".*\Vtba.*\.e"
Pour supprimer les fichiers trouvés
find /exploit/logs/ -type f -size +1 -exec ls -lh {} \; | awk '{ print $8 }' |grep ".*\Vtba.*\.e" | xargs rm
#!/bin/bash cpt=0 cd /exploit/logs lfic=$(find *.e -type f -not -empty) for wfic in ${lfic} do sed '/ERR_NOCONN/d' ${wfic} > ${wfic}_old mv ${wfic}_old ${wfic} done efic=$(find *.e -type f -not -empty) for vfic in ${efic} do echo "Le fichier : "${vfic} echo "contient : " cat ${vfic} echo "" cpt=$(($cpt+1)) done exit ${cpt}
#!/bin/bash w_tempo=$1 w_boucle=$2 w_proc=$3 echo Tempo entre boucle : ${w_tempo} echo Nombre de boucle : ${w_boucle} echo Processus : ${w_proc} echo " " while [ "${w_boucle}" -gt "0" ] do echo " ----------------" date ps auxww | grep -v grep | grep -v vtom| grep ${w_proc} if [ $? -ne 0 ] then echo "Le process '${w_proc}' n'existe pas." exit fi w_reste=$((${w_boucle}*${w_tempo}/60)) echo "Il reste ${w_reste} minutes avant de tuer le processus $w_proc." echo " " sleep ${w_tempo} w_boucle=$((w_boucle-1)) done w_reste=$((${w_boucle} * ${w_tempo}/60)) echo " ------------ Kill du processus ${w_proc} --------------" ps auxww | grep ${w_proc} | grep -v grep | awk '{print $2}' | xargs kill -9 sleep 2 ps auxww | grep -v grep | grep -v vtom| grep ${w_proc} exit
Pour une arborescence de fichiers
lftp king -d -u oracle,oralxxxxxx <<EOF mirror -e --verbose=1 /dossier_source_local /dossier_cible_distant mirror -e --verbose=1 /rmanbackup/sauve /oradata/rmanbackup/sauve mirror -e --verbose=1 /rmanbackup/scripts /oradata/rmanbackup/scripts mirror -e --verbose=1 /rmanbackup/ocr_backup /oradata/rmanbackup/ocr_backup mirror -e --verbose=1 /rmanbackup/voting_disk_backup /oradata/rmanbackup/voting_disk_backup bye EOF
#!/bin/bash -vx w_path_file=/rmanbackup/octal cd $w_path_file
echo "Déplace les fichiers de Legendre vers /rmanbackup/octal" lftp ip_serveur -u user,password <<EOF cd /"LEG vers FT" dir *.csv mget -E -a *.csv bye EOF
le mirror -e efface les fichiers sur la cible lorsqu’ils n’existent plus à la source.
lftp user:password@serveur -e "mirror -e -R /dossier_source_local /dossier_cible_distant ; quit"
lftp fytransport\\adm_u1:jxxxxxx@PWFS3SPCPRD -e "mirror -e -R /rmanbackup/octal/ /Sauve_PING/ ; quit"
Il faut construire le fichier .ini
setlocal ENABLEDELAYEDEXPANSION
set fic_ini=C:\temp\FTP_king.ini
set nom_fic=/rmanbackup/dump/exp_erp_full_{dt_jour,AAAAMMJJ}.tar.gz
set destination=ftp\sauve_PING\export
ou
set nom_fic=%1
set destination=%2
echo Traitement du fichier : %nom_fic%
G:
cd %destination%
dir
echo open king>%fic_ini%
echo oracle>>%fic_ini%
echo oralxxxx>>%fic_ini%
echo ascii>>%fic_ini%
echo dir !nom_fic!>>%fic_ini%
echo mget !nom_fic!>>%fic_ini%
echo bye>>%fic_ini%
rem **************************************************************************
rem On execute le fichier %nom_fic%
rem **************************************************************************
ftp.exe -v -i -s:%fic_ini%
dir
Paramétrage des comptes mails eric@sam-soul.fr
Android et mails
Réception :
Utilisateur : eric@sam-soul.fr
Mot de passe : xxxxxxxxx
Serveur POP3 : ssl0.ovh.net
Port : 995
Mode : SSL/TLS
Emission :
Utilisateur : eric@sam-soul.fr
Mot de passe : xxxxxxxxx
SMTP : ssl0.ovh.net
Port : 465
Mode : SSL/TLS
Connexion obligatoire : Cochée
Utilisateur : eric@sam-soul.fr
Mot de passe : xxxxxxxxx
http://www.zabbix.com/documentation/1.8/manual/config/user_parameters
Create script in /exploit/script folder.
cd /exploit/script
Example : toto.sh (with passing a parameter eg)
give execution rights
chmod 755 toto.sh
Add UserParameter at the end of the file zabbix_agentd.conf
vi /etc/zabbix/zabbix_agentd.conf
Example: UserParameter=system.toto[*],/exploit/script/toto.sh $1
K99zabbix-agent
S99zabbix-agent
Create an Item
Description: itemname
Type: Zabbix agent
key: system.toto[param] (param = the value passed as a parameter)
Type of information: text
Interval: 30 (or other)
vi /etc/zabbix/zabbix_agentd.conf
UserParameter=zab_mem_free,/exploit/scripts/zab_mem_free.sh
UserParameter=zab_proc_mem[*],/exploit/scripts/zab_proc_mem.sh $1
UserParameter=zab_proc_cpu[*],/exploit/scripts/zab_proc_cpu.sh $1
UserParameter=zab_proc[*],/exploit/scripts/zab_proc.sh $1 $2
UserParameter=zab_web_sans[*],/exploit/scripts/zab_web_sans.sh $1
UserParameter=zab_web_avec[*],/exploit/scripts/zab_web_avec.sh $1
Probes on all the Linux server :
zab_mem_free (doesn’t work on Venus)
zab_proc_mem
zab_proc_cpu
Other specifics Probes :
Probe | VMONI | VPALODEV1 |
topcpu | OK | |
zab_web_avec | OK | |
zab_web_sans | OK |